Dans la vallée du Curé – qui doit son nom à la rivière du même nom – Vouhé est un petit village fleuri, verdoyant et plein de fraîcheur. Un lieu qu’on aime retrouver lors des chaudes journées d’été…
Vouhé, village fleuri
Ce qui fait le charme de Vouhé, ce sont d’abord ses fleurs de toutes sortes qui colorent les ruelles et les jardins. Soulignant les vieilles pierres des bâtisses, les roses trémières, fierté de la Charente-Maritime, y sont bien sûr à l’honneur… Mais pas seulement.
Au printemps, le village paré de mille couleurs, a tout d’une charmante carte postale. Puis ce sont ses fontaines et ses ruisseaux qui enchantent les promeneurs. Durant l’été, des habitants passionnés vous proposent d’ailleurs de découvrir Vouhé au fil de l’eau, ses jardins vus de l’intérieur, ses cours d’eau, son histoire et ses petites histoires. Souvenez-vous alors qu’il ne faut pas dire « fontaine, je ne boirai pas de ton eau »…
Un brin d’histoire…
A l’époque gallo-romaine, le village avait pour nom « Voyaco » signifiant « voie d’eau ».
La première construction de l’église de Vouhé date sûrement de l’époque lointaine où les villageois devaient se protéger des bandes barbares qui sévissent dans les alentours. A défaut d’un château, l’église leur permettait de se réfugier en attendant les secours du seigneur de Surgères. Petite anecdote : c’est également le village natal de Jean de Limur, réalisateur et acteur des années 30-45.
L’avis du comptoir local
On aime flâner dans les ruelles fleuries en écoutant Françoise Rosalie, l’unique cloche encore visible de l’église, égrener les heures…
